Les Amériques

Alors que la vie s'écoule dans le quartier des « Amériques », juste un peu plus grise et monotone qu'ailleurs, une succession de rencontres improbables va entraîner cinq personnages dans une épopée burlesque et jubilatoire. On y trouve pêle-mêle un marchand de Coca bio, des détonateurs en caisse, un canal antédiluvien, le maire Michel et la Bible en version porte-à-porte. Un mélange si détonant qu'une nuit de nouvel an, l'explosion est inévitable.
Avec l'aide bien involontaire d'une armée enfouie de ragondins et d'une machine à laver cinq kilos, les habitants des « Amériques » flanquent de l'eau partout, sur la terre comme au ciel, renversent les valeurs et inventent un nouveau monde, plutôt truculent.
Le roman Les Amériques n’a rien à voir avec Richard Brautigan, Louis de Bernières, Rabelais, Thomas McGuane ou Jonathan Coe. Il n’est toutefois pas impossible que l’on songe parfois à l’un ou l’autre.
Ce premier roman enthousiaste, porté par un humour insolent, balaie morosité et cynisme avec allégresse.