Couverture du livre : Quand on parle du diable

Avis sur le livre : Quand on parle du diable

[...] Ici les corps ne sont que des marionnettes souples et dociles aux mains des forces de l’abîme, un Outremonde où, sous le regard du Maître, s’affrontent guilde de sorciers et hiérarchies démoniaques. Retrouvant les primesauts du serial et l’énergie caracolante du roma feuilleton fin de siècle, Joseph Denize nous offre, avec cette contre-histoire ésotérique de la première guerre mondiale, dans le sillage d’Harry Dickson et de Rouletabille, une fort réjouissante équipée, tressautante et diabolique.

François Angelier, Le Monde