Jean Giono
› Décès le 9 octobre 1970
Elzéard Bouffier, berger paisible et obstiné, a planté toute sa vie des arbres et la région des landes de Haute Provence est devenue verdoyante et fraîche.
Publié d'abord dans la revue«Commerce», puis chez Grasset dans les Cahiers verts, en 1929, ce roman est très vite devenu un succès. Il forme avec«Un de Beaumugnes»et«Regain»la trilogie de...
Giono connaît chaque chemin, chaque pierre, chaque torrent, chaque odeur, chaque bruit, chaque colline, chaque olivier de cette moderne Arcadie qu'est la Provence. Deux nouvelles extraites de«Le...
Prix Paul Marmottan décerné par l'Académie des beaux-arts, le 14 novembre 1990.
Dans les textes ici rassemblés, on découvre les exercices, les jeux, les élans interrompus, d'une imagination de pur romancier.
Jean Giono et Jean Paulhan, le lyrique solitaire au fond de sa Provence, et l'esprit moteur, à Paris, d'une large part de l'intelligentsia littéraire à travers La Nouvelle Revue Française qu'il...
Giono a vraiment écrit sur une bonne part de la littérature narrative de l'Occident, de son origine à l'un de ses derniers avatars. Epopée, roman, narration, par correspondance, mémoires...
Des poèmes de jeunesse, tout imprégnés de culture gréco-latine, une introduction pour un tirage restreint d'«Accompagné de la flûte»qui révèle les sources de cette connaissance...
Un conte de la genèse, une magnifique création du monde, inédite à ce jour. Giono l'écrivit en 1964 et l'offrit à son ami Jean Garcia, le typographe qui en fait ici une mise en page...
Ce livre, premier d'une longue série de tableaux de la Provence peints par Giono, est consacré à sa ville natale et au pays qui l'entoure. Il fut écrit et publié en 1930.
Des morts violentes frappent à chaque génération la famille Coste, dont les membres habitués à un destin tragique, finissent par succomber eux-mêmes à la tentation de la perte.
Un jeune carbonaro piémontais, colonel de hussards, réfugié en France à la suite d'un duel politique, retourne dans son pays en traversant le choléra de 1838 qui désole la haute Provence...
Le vieux Félix est mort, là-haut dans son village d'Ubaye, et emporte avec lui le secret de l'endroit où il a dissimulé son magot, convaincu que seule Hortense, sa fille, saura le découvrir....
Dans un temps, Manosque était appelée la ville des hirondelles. C'est, de tout le pays des collines, la ville qui en abrite le plus dans ses génoises. On les voit tout d'un coup surgir par...
Toute sa vie, Giono a écrit de courts essais, des préfaces, des articles sur la Provence. Dans ces essais, il dévoile la Provence telle qu'il la connaît et la vit, c'est-à-dire souvent à...